Elle en était là.
Ballotée entre des recherches qui ne demandent qu’à être poursuivies, des idées qui peuvent être mises en œuvre tout de suite et un calendrier de pas vers quelques migrations lointaines.
Ses pas ne cessaient de revenir.
Ses pas ne cessaient de revenir.
Elle s'emparait du paysage de ses pensées.
Associait ce sentiment à un carré émaillé d'émeraude pailleté de gneiss matière vivante, reflets changeants.
En accentuait les sons par des lignes en saillies qui stabilisaient le vide comme des mots d'absences à l'ennui en révolte dans ces ruelles de toiles à l'état matière.
Tout se dissout, tout se détruit : voyage abstrait
l
Mais l'ennui est tellement salvateur, propice au développement de l'imagination. Je regrette souvent de ne plus m'ennuyer comme avant quand je n'avais que mon ombre pour me divertir.
RépondreSupprimerles photos ne rendent pas la beauté de vos tableaux , qui méritent sans contexte d"être vus
RépondreSupprimerc'est magnifique !