@Percevoir l’Ouvert pour arpenter son Ciel

mercredi 18 novembre 2009

ouverture entre l'ocre et le bleu







D'un nouvel horizon qui de gris se déleste,


Elle empruntait un vaisseau mémoire aux accents veines d'azur pour trouver la légèreté de la plume d'oie et envisager l'un après l'autre les effets plastiques.


Le paradoxe de l'inverse du vide l'envahissait.


le blanc strident et profond s'appropriait la lumière puis s'engouffrait pour fondre sur la toile en un geste d'évasion attestant le ciel et fuir la rigueur rectiligne d'une banquise déchiquetée en blocs confondus, en surfaces et tons contradictoires perspectives, couleurs pures, délavées.

à lire comme une série de volumes désaccordés en matières.




1 commentaire:

  1. je ne viens pas assez souvent. C'est chaque fois un vrai plaisir de glisser entre les mots jusqu'à ces formes et couleurs envoûtantes.

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